Le blog tech de Nicolas Steinmetz (Time Series, IoT, Web, Ops, Data)
N’ayant pas (encore) d’imprimante 3D pour faire des protections ou à prêter à d’autres projets et souhaitant préserver ma trésorerie personnelle, je me suis posé la question de savoir si ma société pouvait contribuer à ces efforts dans la luttre contre le Covid19. Tout comme je considère que ma société doit être pérenne et assurer mes revenus, elle s’inscrit dans une société et doit y contribuer dans la mesure de ses moyens.
Connaissant différentes personnes travaillant sur le projet MakAir ; il y a eu cet appel au don (Via). C’est notamment ce qui a suscité mon questionnement, libre à vous de soutenir le projet de votre choix.
Je me suis donc tourné vers mon expert-comptable pour savoir ce qu’il était possible de faire. Une entreprise peut faire un don et le montant du don ouvrant droit à un crédit d’impôt est plafonné à 5/1000 de son chiffre d’affaires.
Dans mon cas d’espèce, cela donne un montant de 750€ ; soit la facturation d’une journée de travail environ.
Pour être complet, et même si ce n’est pas ma motivation première, d’un point de vue fiscal, il est plus intéressant de faire le versement à titre personnel, car la déduction sur l’impôt sera de 66% (plafonné à 20% du revenu imposable) alors que pour l’entreprise, c’est 60%.
Si votre société se porte raisonnablement bien en ces temps incertains et que vous ne pouvez pas contribuer directement, il est possible pour vous de participer à cet effort au travers du don notamment. Il n’est pas question de mettre votre entreprise ou vous même en difficulté, mais si vous avez l’opportunité de soutenir des projets, ce sera une contribution à l’édifice. Le don n’est pas la seule forme possible d’engagement, mon cas est juste l’occasion de vous faire réfléchir sur le sujet.
Sur ce, prenez soin de vous et de vos proches.
J’ai pu assister aux 3 jours de Devoxx FR 2016 ; voici les conférences qui ont retenu mon attention en repnant une approche thématique plutôt que chronologique.
etcd
, consul
ou encore zookeeper
sans trop savoir ce qu’il se passe en leur sein. Cette présentation a été l’occasion de revenir aux basiques sur le concept de service discovery (un annuaire de services) et l’implémentation d’un cluster consul et son utilisation. Ce fut l’occasion de voir le mécanisme des health checks et comment des applications peuvent dynamiquement être informées de l’existence ou non d’un composant applicatif et de gérer des rechargements de configuration à la volée via consul-replicate.$http
dans le coeur de vue.js. Pour autant, il peut être très complet et embarqué de quoi faire des tests e2e. Un framework a étudier si vous n’avez pas besoin de toute les fonctionnalités d’Angular mais plus des besoins de restituions uniquement (?).En synthèse, une belle première expérience à Devoxx, même pour un non-javaiste comme moi ; des retours d’expérience qui font réfléchir et instructifs dans l’immédiat ou bien à plus long terme à titre pro ou perso. Il se pourrait bien que j’y retourne l’année prochaine !