Le blog tech de Nicolas Steinmetz (Time Series, IoT, Web, Ops, Data)
git --force
est déconseillée si ce n’est proscrite, sa variante git --force-with-lease
est plus intéressante et permet d’éviter d’écraser le travail de vos camarades alors que vous pensiez juste faire un push en force sur une branche distante suite à un rebase local.Lorsque l’on déploie une même application dans plusieurs contextes via docker-compose
, il est intéressant d’utiliser le COMPOSE_PROJECT_NAME qui permet de donner un préfixe à vos réseaux et containers docker a minima.
L’inconvénient est qu’il faut ajouter à vos commandes un -p <project_name>
:
docker-compose -p instancea build --pull
docker-compose -p instancea up -d
docker-compose -p instancea logs -f
docker-compose -p instancea stop <service>
docker-compose -p instancea down
...
Ainsi, vos conteneurs seront nommés instancea_<service name>_<occurence>
et votre réseau instancea_<network name>
.
Mais il est possible d’aller plus loin avec les fichiers d’environnement .env
.
Dans votre fichier .env
à la racine de votre dossier où se trouve votre fichier docker-compose.yml
, définissez la/les variable(s) dont vous avez besoin. Ici, nous allons nous limiter à COMPOSE_PROJET_NAME
mais ne vous privez pas.
COMPOSE_PROJECT_NAME=instancea
A partir de ce moment-là, plus besoin de précier l’argument -p <project name>
, vos commandes redeviennent :
docker-compose build --pull
docker-compose up -d
docker-compose logs -f
docker-compose stop <service>
docker-compose down
...
… et pour autant, vos réseaux et containers ont le bon préfix car le fichier .env
est lu à l’exécution de la commande docker-compose
avant de parser docker-compose.yml
.
On peut aller encore plus loin en utilisant ce COMPOSE_PROJECT_NAME
dans le taggage des images d’un container par ex ou
version: '3'
services:
nginx:
build:
context: ./nginx/
image: "registry.mycompany.com/nginx:${COMPOSE_PROJECT_NAME}"
Lors de la phase de build, l’image sera tagguée avec le nom passé au projet compose. Ensuite, vous pouvez poussez sur la registry de votre entreprise puis déployer cette version sur votre cluster Swarm par ex.
A noter justement une limitation actuelle de docker stack deploy <stack name> -c docker-compose.yml
qui ne lit pas le fichier .env
en amont et donc COMPOSE_PROJECT_NAME
reste vide lors de la lecture du fichier docker-compose.yml
.
Une solution possible est par ex dans le script (simplifié) de déploiement :
cd $BUILDDIR/compose/
source .env
# Remplace la variable COMPOSE_PROJECT_NAME par sa valeur
sed -i -e "s/\${COMPOSE_PROJECT_NAME}/${COMPOSE_PROJECT_NAME}/g" docker-compose.yml
docker stack deploy ${COMPOSE_PROJECT_NAME} -c docker-compose.yml
Et voilà !
EXPLAIN
& SHOW CARDINALITY
), le support des endpoints prometheus en lecture/ecriture, des améliorations sur la compaction ainsi que le serveur http et le client (gestion des connexions). D’autres fonctionnalités plus expérimentales sont aussi disponibles.select(db:"foo")
.where(exp:{"_measurement"=="cpu" AND
"_field"=="usage_system" AND
"service"=="app-server"})
.range(start:-12h)
.window(every:10m)
.max()
zsh
via “Oh My ZSH” mais je n’étais pas allé bien loin, revenant au final au bon vieux bash
. L’article m’a donné envie d’essayer fish et pour le moment, je trouve ça plutôt pas mal. Ne pas se fier à la première impression du site :)JSON
et surtout qu’il n’y a pas de rotation des journaux par défaut :’( ; l’article montre ensuite les intérêts du format GELF (avoir un message sous la forme d’un dictionnaire/tableau au format clé/valeur) et les limites (connextion UDP) avec les solutions de contournement actuelles et les solutions à venir prochainement.